Les cybermenaces... Après la hype de l'IA, ce sera peut-être le prochain prétexte pour éduquer au numérique. À suivre, parce qu'on peut expliquer beaucoup d'enjeux politiques du numériques en s'intéressant aux menaces.
— Permalien
En fin de compte, si nous voulons garantir réellement la transmission de notre patrimoine, il nous faut reconnaître que le numérique, si fascinant et puissant soit-il, n’est qu’un outil parmi d’autres. Miser uniquement sur cette technologie pour préserver des objets et documents pourrait les plonger dans l’oubli. En croyant sauver notre mémoire grâce au numérique, nous risquons d’oublier ce qui fait réellement patrimoine : sa transmission vivante, incarnée et partagée.
— Permalien
LOL... (oui désolé je fais pas beaucoup d'analyse fine en ce moment, j'ai pas trop le temps snif)
— Permalien
100% en phase avec Gee. À gauche, il faut vraiment se réveiller sur ce que le numérique nous fait... Et c'est fatiguant de devoir le répéter, encore et encore...
— Permalien
La ville de Rennes passe son site sur une alternative éco-conçue et développée par un consortium.
Une chouette démonstration d'alternative numérique dans une collectivité territoriale !!
Bravo :)
— Permalien
On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas...
(d'autant que ce n'est pas qu'un gouffre énergétique, c'est aussi des minerais, de l'eau, des zones à artificialiser, etc.)
— Permalien
Il faudrait vérifier la solidité de l'étude, mais je ne suis pas étonné par cet énième signal faible que nous vivons (pas que les jeunes) une immense dissonance cognitive dans notre vie numérique et que notre salut réside dans l'alternumérisme radical => https://louisderrac.com/alternumerisme-radical/
— Permalien
Très en phase avec @Khrys. Je crois que « l'IA » comme concept et idéologie, et particulièrement l'IA générative grand public, n'a pas besoin du capitalisme pour être nocive, car colonialiste, extractiviste (qui ne ne sont eux-mêmes pas limités au capitalisme pour exister au passage), binarisante, écocidaire, etc.
— Permalien